coquillage

Ce n’est pas un dépaysement, c’est une fugue.

L’idée du départ : un paravent avec des haut-parleurs de chaque côté, le pays quitté et l’autre inconnu, en montrant les allées venues, les réseaux routiers, aériens qui rayent tout, qui structurent les paysages, les villes, les gens, par insatisfaction, en manque d’ailleurs. Parce que l’ailleurs est toujours plus beau.

 

La liberté du voyage dans le projet initial avec la vie qui colore les jours, le temps qui structure la réalité.

L’artiste ne voyage-t-il pas, à travers ses questionnements, au-delà du quotidien, dans une géographie complexe ?

 

Le dépaysement pourrait être la couleur, le tableau, les traits et les lignes, repos du néophyte jouant d’une matière nouvelle.

Le son, c’est une pièce de concert composée dans le même temps “Flânerie vagabonde”. Elle sera là diffusée en fragmentation, avec des haut-parleurs insérés dans les tableaux, un peu comme un son susurré, qui n’ose pas être énoncé pleinement. Situations du dépaysement où l’idée que l’on s’en fait.

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Là où le vague abonde…

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